Je te rencontre à chaque détour de pensée. L’impression d’avoir, toute ma vie durant, fait un semis de toi qui lève aujourd’hui sous chacun de mes pas.
Vous trouvez que le temps file, mais vous l’accélerez d’impatience, alors qu’il vous faudrait l’apaiser, le retenir. Le temps se prend en quarte, Chevalier.
Jeanne ! ô Jeanne ! Si tu n’avais ton âge à peine et moi la peine du mien. Si ma douleur se soustrayait de moi. Si ton ardeur s’ajoutait à la mienne. Si… Ce calcul est vain, Chevalier. le coeur est un enfant rebelle aux leçons de l’arithmétique.
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