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Découvrez le titre et la couverture de mon septième roman !

Vendredi dernier, j’ai mis le point final aux corrections éditoriales de mon nouveau roman, le septième. La semaine prochaine, je vais procéder à une relecture d’ensemble et à une ultime passe de corrections orthotypographiques. Il sera disponible à partir du 15 février en numérique et en papier, sur Internet. Si vous ne l’avez pas encore vu sur les réseaux, je vous dévoile le titre de cet ouvrage, ainsi que sa couverture.

Le titre

Avec Les ombres de Brocéliande, je crois que c’est le titre qui m’a donné le plus de fil à retordre. J’avais plusieurs idées en tête, mais aucune ne faisait mouche. Je vous ai interrogés via l’infolettre, sur les réseaux, j’ai questionné mes bêta-lecteurs, mais je n’étais pas convaincue par ce qui se dégageait🤔.

Après les premières propositions, il en est ressorti que le titre devait mentionner le pont, car il joue un rôle important dans l’histoire. Je suis restée assez longtemps bloquée sur Un pont trop loin, film tiré d’un roman éponyme qui m’avait marquée quand j’étais petite et qui évoque un épisode de la guerre 39-45. Mais, évidemment, ça n’a rien à voir avec mon roman !

Et puis, un jour, l’illumination s’est faite, alors que je n’étais pas du tout en train d’y penser (évidemment). Le titre a surgi comme une évidence : Un pont sur l’eau trouble 🤩. Je me suis demandée pourquoi je n’y avais pas pensé plus tôt.

On a bien le pont, l’eau trouble fait référence aux eaux saumâtres caractéristiques des estuaires (ici la Loire), mais aussi au passé mystérieux des personnages et à leurs souvenirs imprécis. Le pont symbolise aussi la manière dont on peut passer par-dessus ces choses négatives pour atteindre l’autre rive et continuer à avancer.

Un pont sur l’eau trouble, c’est aussi une chanson de Simon & Garfunkel que j’aime beaucoup : Bridge over troubled water. Pour l’anecdote, elle a bercée mon enfance. Mon papa la passait très fréquemment sur sa platine vinyle en fin de soirée après un repas🥰. Ses paroles sont aussi très raccord avec le roman, puisqu’il s’agit d’une ode à l’amitié et au soutien qu’on peut apporter à quelqu’un qui souffre.

J’ai proposé ce titre à quelques proches, à ma bêta-lectrice Éléonore et à ma graphiste : cette fois, on l’avait, c’était ça💪. C’était parti pour Un pont sur l’eau trouble !

La couverture

Restait à donner au roman une couverture digne de son titre. J’ai écarté d’emblée la possibilité d’utiliser une photo du Serpent d’Océan, car je n’étais pas sûre d’avoir le droit d’exploiter cette image sur une couverture. Pourtant, ce lieu joue un rôle aussi important dans l’histoire et il est esthétiquement très sympa. Mais j’ai préféré ne pas prendre de risque.

Le Serpent d’Océan

J’ai pensé aussi utiliser une photo prise près de chez moi. Là aussi, on avait des symboles liés au roman, notamment l’arbre qui évoque les racines familiales, la pêcherie qui rappelle l’estuaire et bien sûr la mer. Avec les premières idées de titres, cette photo collait bien à l’ambiance du roman.

Cette photo a failli finir en couverture !

Mais avec le nouveau titre, cette photo n’était plus cohérente, car le pont de Saint-Nazaire n’apparaît pas. Me voilà donc partie en quête d’une autre photo avec le pont. Ma maman 📷 en avait une très belle, prise depuis le port de Mindin, tout près du Serpent d’océan. Ma CroupiGraphiste préférée y a ajouté sa patte et son talent 😍… et voilà le résultat !

👇

Tadaaa !

couverture Un pont sur l'eau trouble roman de Lynda Guillemaud
La couverture de mon septième roman, Un pont sur l’eau trouble, à paraître le 15 février 2021.

Alors, est-ce qu’elle vous plaît ? Dites-moi ce que vous en pensez en commentaires ! 🥰

D’ici le 15 février, vous retrouverez sur le blog et les réseaux sociaux des informations sur le roman : des extraits, des inédits, des anecdotes, une vidéo de présentation… Restez connectés et abonnez-vous à l’infolettre pour ne rien manquer.

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