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« Oraison pour une île » a 1 an !

On sort un peu de Brocéliande pour revenir à Bréhat… Voici un an, mon deuxième roman Oraison pour une île était auto-publié, toujours grâce à Librinova, après avoir remporté ex-eaquo le 1er prix du concours Draftquest/Librinova en 2015.

Couv Oraison pour une ile

Un lancement perturbé…

J’avais fixé le jour du lancement un vendredi 13, parce que je ne suis pas superstitieuse, que j’aime bien les vendredis et j’aime bien le chiffre 13… Mais, l’année dernière, si la journée du vendredi 13 novembre avait bien commencé, avec des ventes honnêtes pour un deuxième roman, la suite des événements avec les tragiques attentats de Paris m’a coupé toute envie de faire de la publicité pour mon livre les jours suivants…

Conséquence, Oraison pour une île n’a pas eu beaucoup de visibilité sur les réseaux en novembre et début décembre, pour des raisons bien compréhensibles et je ne regrette pas de l’avoir fait « discrète ».

Cela dit, en décembre, le livre a bénéficié d’une belle mise en avant dans la liste des « coups de coeur » de Noël du site de la liseuse Nolim/Carrefour.

En mai 2016, c’était le jour de la vente flash Amazon à 0,99€ et si je n’ai pas crevé les plafonds comme avec Le vent des Lumières, j’ai néanmoins fait 280 ventes en une journée et le roman s’est classé à la 6ème place du top 100.

Un an après

J’en suis aujourd’hui à plus de 800 exemplaires numériques vendus (+ quelques dizaines en papier). Les retours des lecteurs sont en majorité positifs, même si certains sont visiblement passés à côté de l’histoire. C’est plus qu’honnête comme résultat, mais clairement en dessous des scores que j’ai atteint avec Le vent des Lumières et Petite mouette qui ont dépassé les 1000 ventes en moins de six mois…

A vrai dire, ce résultat ne m’étonne pas vraiment, car je sais que ce livre est un roman atypique. C’est sûrement mon roman préféré, celui que j’appelle mon « roman-doudou », mais je comprends qu’il puisse dérouter. Je pense qu’il est comme son héros Joshua, à double tranchant, sans nuances : on aime ou on n’aime pas. Bon, ça va, la plupart des lecteurs aiment ! 😉

Pub Opui2-1

Je pense que le titre, aussi, n’est pas indifférent à cette relative contre-performance : un roman qui parle d’oraison, ça n’est pas forcément très vendeur : ça fait religieux, voire macabre (même si littéralement parlant une oraison n’est pas forcément funèbre) ! J’ai pensé un moment lui donner un autre titre, qui serait : De l’autre côté. Qu’en pensez-vous ? Je pense aussi que je vais modifier le résumé et la présentation, de manière à « tempérer »  le mot « oraison ».

En tout cas, je ne renonce pas à donner à ce livre une belle vie dans vos mains de lecteurs, car c’est sans doute le roman qui me ressemble le plus, celui où j’ai mis beaucoup de mes doutes, de mes peurs, de mes joies, de mes aspirations, de mes questions… J’ai mis des années à l’écrire, dans la douleur parfois, comme un exutoire mais je suis heureuse de vous l’avoir offert, de le laisser s’envoler et vivre sa vie.

Si vous avez envie de vous laisser tenter, c’est ici… Si vous l’avez lu, qu’en avez-vous pensé ? Envoyez-moi votre avis ou commentez directement sur votre site d’achat !

 

 

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