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Le vent des Lumières en musique

Même si c’est moins prégnant qu’avec Oraison pour une île que j’évoquais au début du mois, la musique a aussi accompagné Le vent des Lumières. Je vous propose cette fois une playlist « dix-huitième » qui vous immergera dans l’univers d’Eléonore.

Avant de commencer, sachez que Le vent des Lumières sera en offre Promo du mois sur Amazon du 4 juin au 7 juillet : vous le trouverez à 1,99€ (au lieu de 3,99€) ici.

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Conquest of paradise, Vangélis

Ce morceau est issu de la bande originale du film « 1492, Christophe Colomb » de Ridley Scott, sorti en 1992. Ce n’est pas le 18ème siècle, je vous l’accorde, mais cette musique m’a toujours fait penser aux bateaux et aux grands voiliers. En l’écoutant, je vois toujours l’Audacieuse quittant le port pour s’envoler vers les Antilles 🙂

Les noces de Figaro, Wolfgang Amadeus Mozart

Difficile d’évoquer Figaro et Beaumarchais sans penser à l’adaptation pour opéra de Mozart… Ici une version de l’ouverture par Léonard Bernstein, bien péchue comme j’aime. Si vous aimez l’opéra, une version complète en costumes est ici en deux parties (pour afficher les sous-titres, cliquez sur la petite bulle en bas à gauche de l’écran youtube).

Le barbier de Séville, Rossini

Avant le « mariage », Figaro avait déjà sévi dans le Barbier de Séville, adapté cette fois par Rossini. Peut-être que le nom ne vous dira rien, mais aux premières notes vous vous direz « ah mais je connais cet air-là » ! C’est l’air « Largo al factotum », appelé aussi air de Figaro.

 

L’hiver (Les Quatre Saisons), Antonio Vivaldi

Tout le monde connaît Les Quatre Saisons de Vivaldi, mais on connaît surtout le premier concerto (Le printemps). Celui que je préfère est l’Hiver (alors que curieusement, ce n’est pas ma saison préférée !) mais ce morceau reflète assez bien l’ambiance dans laquelle vit Eléonore à la fin du roman (je ne vous en dis pas plus), lors de l’hiver à Paris…

La mer, Trois esquisses symphoniques, Claude Debussy

C’est un morceau que vous avez peut-être déjà découvert avec Oraison pour une île, mais il faut dire que je l’aime particulièrement. Ici, c’est l’ensemble des trois mouvements que je vous propose, car en l’écoutant, je m’embarque toujours à bord des trois-mâts et autres frégates d’antan…

On clôture ainsi ce voyage dans les années Lumières 😉 j’espère qu’il vous a plu ! Pour ne rien rater des prochaines actualités, n’oubliez pas de vous abonner ici.

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